Stanford Prison Experiment (Documental).avi
bienvenue sur le site assezdudpj qui vous appertient vous enfants et ex enfants de la dpj, leurs parents et familles élargies ainsi que tout professionnel voulant dénoncer les abus de pouvoir commis en centre jeunesse, en famille d'accueil ou en foyer de groupe, depuis 1979 et qui, s'associerait pour une demande d'enquête publique INDÉPENDANTE sur le fond sur la DPJ.
lundi 18 mai 2009
Expérience de Stanford - Wikipédia
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dimanche 17 mai 2009
jeudi 14 mai 2009
Medicaments Psychiatriques - La violence sur ordonnance
Medicaments Psychiatriques - La violence sur ordonnance
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lundi 4 mai 2009
Le pharmacologue Claude Rouillard complète son témoignage - LCN - Régional
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dimanche 26 avril 2009
Badoo – jean-denis chouinard 49, Quebec, Canada
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lundi 23 février 2009
jeudi 12 février 2009
Nouveau message
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La Nouvelle / L'Union > Actualités > Pour préserver le lien entre enfants et parents malgré les séparations conflictuelles
La Nouvelle / L'Union > Actualités > Pour préserver le lien entre enfants et parents malgré les séparations conflictuelles
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mardi 10 février 2009
vendredi 6 février 2009
Nouveau message
Nouveau message: "Merci pour les 25 ans de la Maison de la famille née grâce à toi au moment où il n'y avait presque pas de ressources pour les individus, couples et groupes...
J'y ai fais du bénévolat en temps que thérapeute et ai travaillé avec tous les types de clientèles que Constance et Colette me référaient. Ma préférence allait vers la clientèle dite de violence conjugale qui est de la dépendance affective mais à l'époque on ne parlait pas encore beaucoup ( à l'université ou dans les mouvements tels Alcooliques Anonymes - maintenant traitée dans la plupart des maisons de thérapie qui se respecte par le biais des 12 étapes et qui. par expérience de 15 ans auprès des toxicomanes, est la mère des autres dépendances -)de cette maladie qui implique consultation en urgence car elle se termine souvent par des suicides ou des homicides.
En couple thérapeutique mon approche était à l'opposé de celle de Serge-Rock Leclerc de GAPI et mon taux de succès je l'estimais à près de 85%.
Puis j'ai travaillé avec les victimes d'abus sexuels dont l'inceste à l'époque il y avait peu ou pas de services pour ces personnes sauf Marcel et/ou Normande Couture, Yves Dalpé et le psychiatre Rousse"
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J'y ai fais du bénévolat en temps que thérapeute et ai travaillé avec tous les types de clientèles que Constance et Colette me référaient. Ma préférence allait vers la clientèle dite de violence conjugale qui est de la dépendance affective mais à l'époque on ne parlait pas encore beaucoup ( à l'université ou dans les mouvements tels Alcooliques Anonymes - maintenant traitée dans la plupart des maisons de thérapie qui se respecte par le biais des 12 étapes et qui. par expérience de 15 ans auprès des toxicomanes, est la mère des autres dépendances -)de cette maladie qui implique consultation en urgence car elle se termine souvent par des suicides ou des homicides.
En couple thérapeutique mon approche était à l'opposé de celle de Serge-Rock Leclerc de GAPI et mon taux de succès je l'estimais à près de 85%.
Puis j'ai travaillé avec les victimes d'abus sexuels dont l'inceste à l'époque il y avait peu ou pas de services pour ces personnes sauf Marcel et/ou Normande Couture, Yves Dalpé et le psychiatre Rousse"
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mardi 3 février 2009
L’histoire cachée des drogues psychiatriques - Communique de presse
L’histoire cachée des drogues psychiatriques - Communique de presse
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mardi 27 janvier 2009
samedi 24 janvier 2009
vendredi 23 janvier 2009
jeudi 22 janvier 2009
Christiane Desjardins : Le riche homme d'affaires ne voulait pas se marier | Justice et faits divers
Christiane Desjardins : Le riche homme d'affaires ne voulait pas se marier | Justice et faits divers
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mercredi 21 janvier 2009
Cour du Québec -- Liste des juges
Cour du Québec -- Liste des juges
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Le Doc Mailloux de retour devant les juges - LCN - Régional
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mardi 20 janvier 2009
Les étoiles de l'UdeM ou les 10 chercheurs qui ont fait la manchette en 2008 - UdeMNouvelles
Les étoiles de l'UdeM ou les 10 chercheurs qui ont fait la manchette en 2008 - UdeMNouvelles
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La Presse Canadienne: Une étude associe pauvreté et retard de croissance chez les enfants
La Presse Canadienne: Une étude associe pauvreté et retard de croissance chez les enfants
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dimanche 18 janvier 2009
samedi 17 janvier 2009
Autre drogue psychiatrique utilisée par la DPJ
Voilà une autre preuve des effets secondaires que les drogues psychiatriques ou camisoles chimiques que les enfants de la DPJ doivent prendre de force depuis 1979 et sous l'ancienne Loi de la protection de la jeunesse parce qu'ordonné par les juges complices de la DPJ comme au temps des Orphelins de Duplessis et d'autres cas *de ce type au Québec, au Canada et dans d'autres pays tels l'Australie et les É-U(qu'on faisait passer pour "fous" afin d'obtenir des subventions gouvernementales et de remplir leurs centres, leurs orphelinats.
Ces cdrogues psychiatriques tels le Concerta, le Ritalin (la Ritaline ou méthylphynédate) et le Zypréxa(poursuites aux É-U, au Canada contre le fabricant Lilly comme ce fut le cas contre le Ritalin défendu dans plusieurs états américains - sont donnés de force aux enfants de la DPJ comme camisole chimique comme dans le cas des "ainés" dans des CHSLD afin qu'ils ne dérangent pas parce que le roulement des employés est important puisque les stagiaires se rendent vite compte que la DPJ n'est pas un sauveur mais la police de la famille il en va de même dans plusieurs centres pour aînés, "gèlent" ces personnes sans voix, ni droit pour avoir la paix.
Les efftes secondaires de ces drogues psychiatriques causent de sérieux sévices sur les plans neurologiques, physiques, psychologiques développemental, chez les enfants de 0-6 ans(entreposés dans des ceneres aux clôtures de 15 pieds au cas où les enfants voudraient fuguer) et les pré et jeunes ados en voie de devenir adultes.
Dans un article publié dans le quotidien Le Soleil révélait que 87% des enfants de la DPJ en Gaspésie et aux Iles-de-la-Madeleine prenaient de force ces drogues psychiatriques en centre jeunesse et en famille d'accueil où c'est plus difficile à décéler puisque personne ne surveille ces endroits.
Lorsque la file pour les "pilules" est plus longue que la file pour le dîner, il y a là un problème qui devrait réveiller notre "bon père/bonne mère en chacun de nous...Chez les fillettes dont un parent est gynécologue il n'est pas question de donner la pilule anticonceptionnelle car c'est une bombe pour le dévelopement .
Les effets secondaires des drogues comme le Ritalin , le Concerta, l'Haldol, le Zypréxa et autres sont la dyskinésie tardive - fréquente chez les ex psychiatrisés des années 40, 50, 60 ans - le Petit Mal et le Grand Mal donc l'épipepsie, le syndrome Gilles de la Tourette, etc., qui faussent le diagnostique et la réalité car comme le citait le psychiatre Mailloux, on ne peut évaluer un patient dans un environnement comme un centre jeunesse et peuvent même laissé croirer aux patients qu'ils sont PMD(psycho maniaco dépressif qui est "borderline" avec justement le diagnostique de personnalité. bordeline que l'on rencontre souvent chez les toxicomanes que deviennent les enfants de la DPJ au fil des années et qui demandera à ces jeunes de consulter des années durant suite à l'enfer vécu vécu en centre jeunesse et en famille d'accueil.
Il faut savoir que le Ritalin et/ou le Concerta remplace la cocaïne vendus dans la rue aux toxicomanes que deviennent les enfants de la DPJ et qui les entrainera inévitablement vers les gangs de rue à leur majorité..autres enfants avec qui ils ont grandi en centre et/ou en famille d'accueil...
Comme les intervennants, selon leur humeurs du jour joiuent avec la posologie et font affaire avec la pharmacie du coin sans passer par un médecin ces enfants sont en danger quant à leur sécurité physique, psychologique, neurologique.
Le Ritalin dont la hausse de prescrioptions avait atteint 666% à Philadelphie ont vu les plaintes des parents d'une commisson scolaire de cette ville se retrouver devant la puissante FDa américaine qui après recherches a obligé le fabricant à inscrire sur son produit - le Ritalin ou Ritaline ou méthylphynédate qu'il augmentait les idéations suicidaires et l'agressivité..
Donc un enfant "entreposé" dans un centre jeunesse peut être dit dans les rapports toujours dénigrants de la DPJ présentés aux juges comme preuve qu'il faut garder l'enfant en centre jusqu'à sa majorité. parce dangereux poour lui-même ou les autres contre l'enfant comme s'il était le problème et non la victime du problème - lire ici l'absoption de ces drogues psychiatriques - ou dit selon la culture dépéjienne comme étant "désorganisé".
La réalité est tout autre. L'enfant peut être en train d'étoufffer car le Zypréxa, par exemple, donné lui aussi en quantité industrielle crée cette difficuté d'avaler et si mis en sevrage de ces drogues psychiatriques comme celà arrive souvent en centre jeunesse et pire en famille d'accueil où aucun professionnel n'est proche en cas de difficulté, l'enfant peut décéder ou être en convulsion - Petit Mal et Grand Mal décrit plus tôt) ce qui est interprété chez les intervenants comme un enfant désorganisé qui sera mis en isolement pendant des semaines, voire des mois...
Julie Chounard qui a été entreprosé en centre jeunesse et y a vécu l'enfer pour avoir sauvé la vie de sa jeune soeur en a témoigné dans le Journal de Québec tout comme la fille de l'ex ministre de la justice, Lysanne Bellemarre. Il en va de même pour la jeune Valérie venue témoigner lors de la consultation sur les modifications à la loi 125 télécommandées à la Ministre du temps par la DPJ à laquelle a participé l'association des grands-parents du Québec M. Henri Lafrance.
Elles ont raconté les agressions sexuelles vécues en centre jeunesse autant par des femmes que des hommes qui y travaillent encore et qui ont été niées par la DPJ et qui ont ont valu des semaines d'isolement voire des mois lors de leur retour en centre ou en famille où étaient commises les agressions à répétition.
La DPJ en ces cas dira selon son langage que la jeune "fabule"... Là, comme lors de violence conjugale advenant qu'il y ait mensonge on ne prend aucune chance et des accusations sont portées...au cas où ce serait vrai...
Les enfants et leurs parents portant plainte à tout ce qui existe (la CDPDJ, le Protecteur du citoyen, etc comme l'ont aussi fait l'association des grands-parents) voient leur liens avec leur fratrie, leurs parents, grands-parents coupés brutalement et les enfants et les parents seront dits non collaborant avec la DPJ qu'ils mentent, que ce sont des allégations non des faits...
Ces coupures brutales laissent chez l'enfant des traces sérieuses. Les comparaisons entre l'aliénation parentale utilisée à outrance par la DPJ car elle crée des sentiments, émotions chez l'enfant et ses parents qui seront utilisés par la DPJ comme preuve que les parents sont inaptes. Comme au Québec on se Chr... des enfants, dira Dan Bigras qui ira faire des recherches exhaustive sur les sévices subis en établisssement aux enfants qui y sont "entreposés" avant d'être donnés en adoption comme celà se fait à la SPCA ou s'ils étaient des bout-de-chou offerts aux riches impuissants de la province...comme au temps de la Miséricorde, ce qui fait que de jeunes mamans ne vont plus en CLSC chercher de l'aide et préfère laisser leur enfants à la porte d'un hôpital ou cachent l'enfant mort-né dans un champs ou un sac vert plutôt que de se faire kidnapper leur enfant comme celaétait pour les filles-mères de la Misédricorde qui viennet essayer de retrouver leurs enfants à des émissions comme Les Retrouvailless de Claire Lamarche....
Coupant brutalement les liens parents-enfants, cela crée aussi des dépendantes affectives qui cherchant l'amour, se jetteront dans les bars du 1er gars qui leur dira qu'elles sont belles, qu'elles sont fines.....
Ces jeunes filles se retrouveront dans le monde de la prostitution d'où le nombre élevé de jeunes filles non retrouvées qui proviennent de centres jeunesse où la majoprité sont recrutées pour faire des pipes dans les stationnements des bars de danseuses nues.
Finalement ces drogues psychiatriques sont à l'origine de tueries comme Polytechnique, le Collège Dawson, Viriginia Tech, Le Parlement avec Denis Lortie ou le meurtre de Nancy Michaud, Columbine - un des tueurs avait rêvé la nuit précédente qu'il faisait une tuerie dans un centre commercial; curieusement un seul résultat d'autopsie fut rendu public en plus comme cela se fait en centre jeunesse, il suivait un stage pour contrôler son agressivité alors que celle-ci provenait des drogues psychiatriques...
* On peut nommer Jéricho à Vancouver, le Mount St Joseph, Mount Cashel, les enfants gars et fillettes abusées sexuellement dans le diocèse de Boston, les jeunes autochtones des pensionnats des années 40,50, ceux de Queen's en Australie...
Ce document est le fruit de 12 annéées de plaintes reçues d'enfants, d'ex enfants de la DPJ , de leurs familles immédiates, d'ex orphelins de Duplessis, de mères d'enfants kidnappés à la Miséricorde, de différents pensionnats comme le Mont d'Youville, de l'Hôpital Robert Giffard, l'Hôpital St Ferdinand d'Halifax. de Saint-Jean-De-Dieu ou d'enfants de parents qui ont fait la manchette ou de jugements sur le site "jugements.qc.ca", de témoignages de jeunes filles en centre jeunesse ou à la Consultation sur les modifications télécommandées par la DPJ à la Ministre du temps...
Pour autres infos voir les blogs suivants ou le site "assezdudpj" sur MSN...
Les blogs sont:
http://assezdudpj.blogspot.com
Facebook
Espace.canoe.ca/groslion59
http://groslion.unblog.fr
Jean-Denis Chouinard
Eapace.canpoe.
Ces cdrogues psychiatriques tels le Concerta, le Ritalin (la Ritaline ou méthylphynédate) et le Zypréxa(poursuites aux É-U, au Canada contre le fabricant Lilly comme ce fut le cas contre le Ritalin défendu dans plusieurs états américains - sont donnés de force aux enfants de la DPJ comme camisole chimique comme dans le cas des "ainés" dans des CHSLD afin qu'ils ne dérangent pas parce que le roulement des employés est important puisque les stagiaires se rendent vite compte que la DPJ n'est pas un sauveur mais la police de la famille il en va de même dans plusieurs centres pour aînés, "gèlent" ces personnes sans voix, ni droit pour avoir la paix.
Les efftes secondaires de ces drogues psychiatriques causent de sérieux sévices sur les plans neurologiques, physiques, psychologiques développemental, chez les enfants de 0-6 ans(entreposés dans des ceneres aux clôtures de 15 pieds au cas où les enfants voudraient fuguer) et les pré et jeunes ados en voie de devenir adultes.
Dans un article publié dans le quotidien Le Soleil révélait que 87% des enfants de la DPJ en Gaspésie et aux Iles-de-la-Madeleine prenaient de force ces drogues psychiatriques en centre jeunesse et en famille d'accueil où c'est plus difficile à décéler puisque personne ne surveille ces endroits.
Lorsque la file pour les "pilules" est plus longue que la file pour le dîner, il y a là un problème qui devrait réveiller notre "bon père/bonne mère en chacun de nous...Chez les fillettes dont un parent est gynécologue il n'est pas question de donner la pilule anticonceptionnelle car c'est une bombe pour le dévelopement .
Les effets secondaires des drogues comme le Ritalin , le Concerta, l'Haldol, le Zypréxa et autres sont la dyskinésie tardive - fréquente chez les ex psychiatrisés des années 40, 50, 60 ans - le Petit Mal et le Grand Mal donc l'épipepsie, le syndrome Gilles de la Tourette, etc., qui faussent le diagnostique et la réalité car comme le citait le psychiatre Mailloux, on ne peut évaluer un patient dans un environnement comme un centre jeunesse et peuvent même laissé croirer aux patients qu'ils sont PMD(psycho maniaco dépressif qui est "borderline" avec justement le diagnostique de personnalité. bordeline que l'on rencontre souvent chez les toxicomanes que deviennent les enfants de la DPJ au fil des années et qui demandera à ces jeunes de consulter des années durant suite à l'enfer vécu vécu en centre jeunesse et en famille d'accueil.
Il faut savoir que le Ritalin et/ou le Concerta remplace la cocaïne vendus dans la rue aux toxicomanes que deviennent les enfants de la DPJ et qui les entrainera inévitablement vers les gangs de rue à leur majorité..autres enfants avec qui ils ont grandi en centre et/ou en famille d'accueil...
Comme les intervennants, selon leur humeurs du jour joiuent avec la posologie et font affaire avec la pharmacie du coin sans passer par un médecin ces enfants sont en danger quant à leur sécurité physique, psychologique, neurologique.
Le Ritalin dont la hausse de prescrioptions avait atteint 666% à Philadelphie ont vu les plaintes des parents d'une commisson scolaire de cette ville se retrouver devant la puissante FDa américaine qui après recherches a obligé le fabricant à inscrire sur son produit - le Ritalin ou Ritaline ou méthylphynédate qu'il augmentait les idéations suicidaires et l'agressivité..
Donc un enfant "entreposé" dans un centre jeunesse peut être dit dans les rapports toujours dénigrants de la DPJ présentés aux juges comme preuve qu'il faut garder l'enfant en centre jusqu'à sa majorité. parce dangereux poour lui-même ou les autres contre l'enfant comme s'il était le problème et non la victime du problème - lire ici l'absoption de ces drogues psychiatriques - ou dit selon la culture dépéjienne comme étant "désorganisé".
La réalité est tout autre. L'enfant peut être en train d'étoufffer car le Zypréxa, par exemple, donné lui aussi en quantité industrielle crée cette difficuté d'avaler et si mis en sevrage de ces drogues psychiatriques comme celà arrive souvent en centre jeunesse et pire en famille d'accueil où aucun professionnel n'est proche en cas de difficulté, l'enfant peut décéder ou être en convulsion - Petit Mal et Grand Mal décrit plus tôt) ce qui est interprété chez les intervenants comme un enfant désorganisé qui sera mis en isolement pendant des semaines, voire des mois...
Julie Chounard qui a été entreprosé en centre jeunesse et y a vécu l'enfer pour avoir sauvé la vie de sa jeune soeur en a témoigné dans le Journal de Québec tout comme la fille de l'ex ministre de la justice, Lysanne Bellemarre. Il en va de même pour la jeune Valérie venue témoigner lors de la consultation sur les modifications à la loi 125 télécommandées à la Ministre du temps par la DPJ à laquelle a participé l'association des grands-parents du Québec M. Henri Lafrance.
Elles ont raconté les agressions sexuelles vécues en centre jeunesse autant par des femmes que des hommes qui y travaillent encore et qui ont été niées par la DPJ et qui ont ont valu des semaines d'isolement voire des mois lors de leur retour en centre ou en famille où étaient commises les agressions à répétition.
La DPJ en ces cas dira selon son langage que la jeune "fabule"... Là, comme lors de violence conjugale advenant qu'il y ait mensonge on ne prend aucune chance et des accusations sont portées...au cas où ce serait vrai...
Les enfants et leurs parents portant plainte à tout ce qui existe (la CDPDJ, le Protecteur du citoyen, etc comme l'ont aussi fait l'association des grands-parents) voient leur liens avec leur fratrie, leurs parents, grands-parents coupés brutalement et les enfants et les parents seront dits non collaborant avec la DPJ qu'ils mentent, que ce sont des allégations non des faits...
Ces coupures brutales laissent chez l'enfant des traces sérieuses. Les comparaisons entre l'aliénation parentale utilisée à outrance par la DPJ car elle crée des sentiments, émotions chez l'enfant et ses parents qui seront utilisés par la DPJ comme preuve que les parents sont inaptes. Comme au Québec on se Chr... des enfants, dira Dan Bigras qui ira faire des recherches exhaustive sur les sévices subis en établisssement aux enfants qui y sont "entreposés" avant d'être donnés en adoption comme celà se fait à la SPCA ou s'ils étaient des bout-de-chou offerts aux riches impuissants de la province...comme au temps de la Miséricorde, ce qui fait que de jeunes mamans ne vont plus en CLSC chercher de l'aide et préfère laisser leur enfants à la porte d'un hôpital ou cachent l'enfant mort-né dans un champs ou un sac vert plutôt que de se faire kidnapper leur enfant comme celaétait pour les filles-mères de la Misédricorde qui viennet essayer de retrouver leurs enfants à des émissions comme Les Retrouvailless de Claire Lamarche....
Coupant brutalement les liens parents-enfants, cela crée aussi des dépendantes affectives qui cherchant l'amour, se jetteront dans les bars du 1er gars qui leur dira qu'elles sont belles, qu'elles sont fines.....
Ces jeunes filles se retrouveront dans le monde de la prostitution d'où le nombre élevé de jeunes filles non retrouvées qui proviennent de centres jeunesse où la majoprité sont recrutées pour faire des pipes dans les stationnements des bars de danseuses nues.
Finalement ces drogues psychiatriques sont à l'origine de tueries comme Polytechnique, le Collège Dawson, Viriginia Tech, Le Parlement avec Denis Lortie ou le meurtre de Nancy Michaud, Columbine - un des tueurs avait rêvé la nuit précédente qu'il faisait une tuerie dans un centre commercial; curieusement un seul résultat d'autopsie fut rendu public en plus comme cela se fait en centre jeunesse, il suivait un stage pour contrôler son agressivité alors que celle-ci provenait des drogues psychiatriques...
* On peut nommer Jéricho à Vancouver, le Mount St Joseph, Mount Cashel, les enfants gars et fillettes abusées sexuellement dans le diocèse de Boston, les jeunes autochtones des pensionnats des années 40,50, ceux de Queen's en Australie...
Ce document est le fruit de 12 annéées de plaintes reçues d'enfants, d'ex enfants de la DPJ , de leurs familles immédiates, d'ex orphelins de Duplessis, de mères d'enfants kidnappés à la Miséricorde, de différents pensionnats comme le Mont d'Youville, de l'Hôpital Robert Giffard, l'Hôpital St Ferdinand d'Halifax. de Saint-Jean-De-Dieu ou d'enfants de parents qui ont fait la manchette ou de jugements sur le site "jugements.qc.ca", de témoignages de jeunes filles en centre jeunesse ou à la Consultation sur les modifications télécommandées par la DPJ à la Ministre du temps...
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Jean-Denis Chouinard
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